Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
BECASSINE TRICOTE
Newsletter
Derniers commentaires
balades
18 mai 2009

JOURNEE PLUVIEUSE

et sans photos, 

malgré la pluie nous nous sommes quand même dirigées vers la Cour Saint Emilion, je ne m'en lasse pas.

Quelques arrêts à Natures et Découvertes, à la Cure Gourmande

le temps de déguster un tartare à l'Hippo du coin, et recherche d'un film en VF, pas facile. MILLENIUM et ANGES et DEMONS étant surtout en VO

Nous avons échoué près de la Gare de Lyon où dans une salle modeste nous avons pu décrocher deux heures avec Tom HANKS, deux heures que personnellement j'ai trouvé assez décevantes.

Comme d'habitude, le film n'est pas à la hauteur du livre

Pizza pour terminer la journée et retour dans la soirée

Une journée d'excellence entre nanas, papotage à la clé, et bonne rigolade

Kiraz1

oui!!!!!!!!bon!!!!!!!!!!!!!!!!

avec quarante ans de plus !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Publicité
4 mai 2009

APRES MIDI ENSOLEILLEE

Idéale pour faire une nouvelle balade

Aujourd'hui, direction CHENILLE-CHANGE, en bordure de la Mayenne.

008

J'avais eu plusieurs fois l'occasion d'y louer un gîte pour venir voir Filliot et à l'époque ma petite-fille, "Belle-Fille Chérie" ne nous recevant pas !!!!!

C'est un superbe petit village fleuri

015

002

Le Presbytère, gite cité précédemment,

006

Petites et grandes maisons au bord de la rivière

004

Port de plaisance

007

010

012

014

Le moulin, à visiter

Et si cette visite vous a donné faim, rendez-vous incontournable à La Table du Meunier

Située en bordure de rivière, cette auberge-restaurant est un ancien moulin à huile restauré dans un cadre rustique et chaleureux
.

3 mai 2009

BALADE DOMINICALE

Dans le centre historique d'ANGERS

007

008

Les remparts du château

005

009

012

les jardins à la française

015

030

la cathédrale Saint Maurice

018

020

La maison d'Adam

022

qui abrite la maison des artisans

029

La Maine vue du haut de la cathédrale

C'était un dimanche choisi pour ce genre de visite, pas de soucis de stationnement, pas trop de foule

Retour par

031

le Château du PLESSIS-BOURRE

036

038

037

château où fut tourné en partie le film PEAU D'ANE

29 avril 2009

PETITE BALADE ANGEVINE

Aujourd'hui, je suis descendue à ANGERS pour récupérer une amie nivernaise venue passer quelques jours, et devant passer au Centre Hospitalier, j'en ai profité pour lui faire visiter cette merveille

La chapelle devenue bureau des admissions

001

003

mais restée dans son jus

004

006

avec ses peintures murales et son chemin  de croix. Dommage que les photos soient sombres,

009

Vraiment très joli, et pour mon compte personnel, je trouve que cela vaut le coup de se faire "admettre"

8 mars 2009

APRES MIDI MITIGE

Après une matinée grise et pluvieuse, le soleil a montré le bout de son nez pour me permettre de balader une amie parisienne venue me visiter

006

La LOIRE à ANCENIS

008

Toujours ANCENIS

013

SAINT FLORENT LE VIEIL L'église

015

Le tombeau de Bonchamp par David D'Angers

Charles Melchior Artus, marquis de Bonchamps, né en 1760 à Juvardeil en Anjou, mort le 18 octobre 1793. Il était un homme politique français, fils de Anne-Artus, Marquis de Bonchamps, commandant des armées vendéennes pendant l'insurrection des royalistes contre la République pendant la Révolution française.

Il servit avec distinction dans la guerre d'Amérique. Il était capitaine au régiment d'Aquitaine, lorsque la Révolution française, qu'il désapprouvait, lui fit quitter cette place. Il se retira dans un château près de Saint-Florent ; c'est là que les insurgés de la Vendée vinrent le chercher pour le mettre à leur tête.

Général prudent et habile, il battit quelquefois les troupes républicaines ; mais ses collègues l'accusèrent souvent d'indécision et de tiédeur. Il fut choisi en 1793 avec Maurice-Louis-Joseph Gigot d'Elbée comme général de l'armée catholique et royale de Vendée. Il obtint d'abord quelques succès dans l'Anjou, et contribua à la prise de Bressuire et de Thouars mais échoua devant Nantes.

Le 17 septembre 1793, l'Armée catholique et royale, commandée par Charette et Bonchamps, rangée en bataille sur le bord de la grande route de Tiffauges à Cholet, faisant face à Torfou, fut attaquée par les Républicains sous les ordres de Kléber.[1]

Kléber, déjà grièvement blessé et se sentant de plus en plus pressé par les Vendéens, arriva au pont de Boussay, y fit placer deux pièces de canon[2]. Après cet échec, le général en chef Canclaux ordonna au général Beysser de se porter sur Boussay. Charette et Bonchamps résolurent de l'attaquer. Ils se joignirent à Montaigu, et là, à la suite d'un combat où le général républicain, atteint d'un biscaïen, passa pour mort pendant quelques moments, sa colonne fut mise dans un désordre complet et s'enfuit, vivement poursuivie jusqu'à Aigrefeuille.

De Montaigu, Charette marcha sur Saint-Fulgent, où il battit de nouveau les Républicains, leur prit 22 canons, leurs bagages et de nombreuses munitions. Le lendemain, 22, Bonchamps et d'Elbée assaillirent près de Clisson le général Canclaux. Déjà Bonchamps s'était emparé des chariots, des ambulances et d'une partie de l'artillerie républicaine ; mais Charette ne vint pas au rendez-vous, et les Vendéens furent vaincus à leur tour.

Le 30 septembre, Kléber, placé sous les ordres de Canclaux, rencontra, à deux lieues de Montaigu, les avant-postes de Bonchamps et de d'Elbée. Ces généraux étaient campés de ce côté avec 40 mille hommes et une nombreuse artillerie. Kléber donna le signal de l'attaque. [3] Après une lutte acharnée de deux heures, les Vendéens, troublés par l'impétuosité d'une charge à la baïonnette, se rompirent et furent mis en déroute.

Aux combats de Saint-Christophe-du-Ligneron et de la Tremblaie, les Vendéens, commandés par Bonchamps, d'Elbée, Lescure et La Rochejaquelein, sont encore battus après une lutte sanglante. Lescure fut mortellement blessé.

A la bataille de Cholet qui eut lieu le 17 octobre 1793, vingt-quatre mille Républicains combattirent contre quarante mille Vendéens découragés, très mal armés et encore plus mal disciplinés. Il y eut peu de batailles où les masses se soient entrechoquées avec autant de fureur. Les Vendéens eurent longtemps l'avantage. Ce fut le jeune général Marceau qui décida la victoire à se ranger de son côté.[4] La perte des insurgés fut évaluée à 8 000 hommes tués ou blessés. D'Elbée y fut blessé grièvement et Bonchamps mortellement. Ce dernier, porté à Saint-Florent-le-Vieil, obtient la grâce et la libération de 5 000 soldats républicains le 18 octobre[5].

Bonchamps meurt le 18 octobre à 11 heures du soir à la Meilleraie en Varades. Il est enterré dans le cimetière de la ville. M. de Barante, rédacteur des Mémoires de Madame de La Rochejaquelein, prétend que quelques jours après les républicains l'exhumèrent pour lui trancher la tête, et l'envoyer à la Convention.

Parmi les prisonniers grâciés se trouvait le père de l'artiste David d'Angers. Ce dernier érigea la célèbre statue du "Pardon de Bonchamps" dont on peut voir l'original à Saint-Florent-le-Vieil et une copie à la galerie David d'Angers ... à Angers.

Source Wikipédia

012

La LOIRE vue du haut de SAINT FLORENT

Excellente demie journée qui m'a permis de revoir la maison où je vivais il y a dix huit ans et que j'ai quitté avec beaucoup de regrets

001

003

avec son parc où tout a été coupé, quel dommage!!!!!!!!!!!

Publicité
16 février 2009

WEEK END ENSOLEILLE

dans le Bordelais, j'en ai profité pour faire quelques visites aux alentours, et cette semaine sera repos car votre Bécassine est sur les rotules, et lundi prochain hospi

Nous sommes partis avec trois APN, et trois générations de quiches que nous sommes ..........les trois étaient déchargés

Vous aurez donc un mélange  photos traditionnelles google et photos prises avec les portables !!!!

L'abbaye de la SAUVE MAJEUR

PICT1986

L'abbaye de La Sauve-Majeure est connue sous le nom de la Grande Sauve ou Sauve Majeure, Sauve signifiant bois. Elle fut fondée en 1079 par le duc d'Aquitaine et Saint Gérard (Gérald d'après les sources hagiographiques latines). À son apogée, elle abritait 300 moines.

]PICT1984

Sur le lieu-dit de Hauteville, à égale distance de la Garonne et de la Dordogne, l'abbé Gérard de Corbie fonde Notre Dame de la Grande Sauve en 1079. Son nom est issu du nom de la forêt occupant à l'époque l'Entre-Deux-Mers (Inter duo Maria) : La Silva Major.

sauve1

L'abbé construit alors une première église abbatiale. Avec l'appui du duc Guillaume VIII d'Aquitaine, avec le soutien du pape et grâce à de généreux donateurs et protecteurs parmi lesquels les rois de France et d'Angleterre, l'abbaye prospère rapidement. Elle se trouve sur la route de Compostelle et servit de point de départ régional pour le pèlerinage. Elle était sous la tutelle des rois d'Angleterre. L'abbé Gérard y est enterré à sa mort en 1095 et le pape Célestin III le canonisa en 1197. L'église actuelle fut consacrée en 1231.

L'abbaye de la Sauve a eu une vie monastique s'inspirant de celle de l'abbaye de Cluny et fut régie par la règle de Saint Benoît. Au Moyen Âge, Grande Sauve était riche et puissante et disposait de 51 prieurés, jusqu'à Bruwell en Angleterre. Sa réputation en fit une rivale du centre urbain de Bordeaux. Aliénor duchesse d'Aquitaine y fit de nombreux séjours. Mais la richesse de la Grande Sauve attira aussi les pillards, les basques, les navarrais qui mirent l'abbaye mille fois à sac. Les bourgeois de la Sauve se révoltèrent maintes fois contre les riches moines de l'abbaye.

sauve2

Des réparations et fortifications furent apportées au seizième siècle après les ravages de la Guerre de Cent Ans qui opposa le Royaume de France et d'Angleterre de 1337 à 1453 pour l'appropriation de l'Aquitaine et du Poitou. Ces restaurations interviennent dans un climat de contestation des privilèges de l'abbaye et de rivalité économique avec la bastide de Créon. Elles signent le déclin de l'abbaye et la perte de son influence.

Elle rejoignit plus tard la congrégation des Exempts et devint Mauriste en 1667. En 1665, une tempête cause de gros dégâts aux toitures de l'église, aux dortoirs et au réfectoire. Le clocher s'écroule à la fin du XVIIIe siècle à la suite de ces dommages. De plus, en 1759, un tremblement de terre ébranle l'église.

À la Révolution française, les richesses de l'abbaye sont confisquées et dispersées. En 1793, les bâtiments furent utilisés comme prison. Les voûtes de l'église tombèrent en 1809. Elle est alors exploitée comme carrière pendant 40 ans pour construire les bâtiments du village de La Sauve.

En 1837, l'archevêque achète les bâtiments conventuels et fait édifier un collège de jésuites. Il est plus tard transformé en école normale d'instituteurs. Mais en 1910, un incendie détruit l'école et le site est de nouveau abandonné. Entre 1914 et 1918, les bâtiments sont transformés en petit hôpital militaire de campagne

CADILLAC

Dominant la Garonne et la bastide de Cadillac, le château de Cadillac est
un brillant exemple d'une architecture du tout début du 17e siècle.

Aujourd'hui encore, il témoigne aussi bien des fastes du XVIIème siècle
que de la dure réalité de la centrale de force qu'il fût pendant 130 ans.

phpThumb_generated_thumbnailjpg

Il fut en son temps un monument prestigieux, rivalisant avec les domaines royaux.

Le duc d'Epernon (1554-1642) fit édifier cette somptueuse demeure dont ne subsistent que le corps de bâtiment principal avec ses deux ailes en retour d'équerre, la cour d'honneur et les jardins.

A l'intérieur, les cheminées monumentales en pierre sculptée et en marbre, les plafonds peints du 17e siècle et les tapisseries témoignent du faste de cette résidence qui accueillit Louis XIII et Louis XIV avant d'être réutilisée au XIXème et XXème siècles (1820-1952) comme prison pour femmes.

Eglise Saint-Blaise et Saint-Martin :
L'église, accolée au mur nord de l'enceinte de la ville, est prolongée à l'est par une sacristie. La nef unique et la chapelle funéraire sont voutées d'ogive. L'ensemble de la construction est en pierre de taille, à l'exception de la sacristie, bâtie en moellon. Le clocher, supportant une flèche en maçonnerie, a été bâtie en 1853. Les statues en terre cuite de Saint Pierre et de Saint Paul sont disposées de part et d'autre de l'entrée de l'église et datent du XIXème siècle

RIONS

Dans l' antiquité romaine la ville est connue sous le nom de Riuncium. Elle s' agrandit ensuite au 12e siècle autour du château d' Auger seigneur de Rions qui domine un bras de la Garonne. Son histoire suit les vicissitudes de la guerre de Cent Ans. En 1295 la ville fut conquise par Charles de Valois et ses remparts démantelés. En 1304, Edouard Ier roi d' Angleterre et duc d' Aquitaine promet une forte somme pour aider à leur reconstruction.

rions1

C' est de cette époque que datent les remparts. La ville se soumet définitivement au roi Charles VII en 1451. Les plus anciennes demeures de la ville datent de la reconstruction qui a suivi. Au 17e siècle, nouvelles reconstructions après les guerres de Religion. Des travaux d' urbanisme avec alignement des rues, destruction des derniers vestiges du château fort et déplacement du cimetière se font au 19e siècle. Lotissements à l' extérieur des murs au 20e siècle

Retour par le pont EIFFEL de LANGOIRAN

quartier du port est constitué de jolies maisons (anciennes maisons de pêcheurs le long du grand Estey), ancien relais Saint Martin, sur la berge de la Garonne, construites aux XVIIème siècles. A la fin du XIXème siècle un pont métallique, dénommé à tort Pont Eiffel car il rappelle les constructions du célèbre ingénieur Gustave Eiffel, est construit par l'entrepreneur Fives Lille et permet de franchir la Garonne pour rejoindre sur la rive droite le Bourg de Portets.

13 octobre 2008

LE VEURDRE

LA_FOIRE_AUX_MESLES_015

LA_FOIRE_AUX_MESLES_011

Joli petit village  fleuri du Bourbonnais,

LA_FOIRE_AUX_MESLES_038

construit au bord de l'Allier,et qui, à cet endroit, servait de ligne de démarcation pendant la seconde guerre mondiale (lire Le déjeuner de la Croix de Vernuche, du Colonel REMY)

Chaque année, nous ne manquons pas l'incontournable

LA_FOIRE_AUX_MESLES_013

Foire aux Mesles

Les mesles, ancien nom des nèfles, sont les fruis du meslier (néflier)

LA_FOIRE_AUX_MESLES_003

LA_FOIRE_AUX_MESLES_029

Foire aux chevaux

LA_FOIRE_AUX_MESLES_020

LA_FOIRE_AUX_MESLES_021

aux moutons

LA_FOIRE_AUX_MESLES_017

aux lapins

LA_FOIRE_AUX_MESLES_032

aux ânes

LA_FOIRE_AUX_MESLES_006

LA_FOIRE_AUX_MESLES_025

mais aussi une occasion de passer une bonne journée entre amis

LA_FOIRE_AUX_MESLES_024

LA_FOIRE_AUX_MESLES_028

de manger

LA_FOIRE_AUX_MESLES_023

de faire de la musique

une plongée dans le terroir, et j'adore !!!!!!!!!!!!, je regrette de ne pouvoir vous faire partager les bruits et les odeurs ...............

12 octobre 2008

AUJOURD HUI

Dimanche ensoleille, dix jours avant le grand départ, j'en ai profité pour faire un  safari photo dans le Nevers que j'aime

007

celui des ducs de Gonzague avec le Palais Ducal

018

magnifique vestige transformé en Mairie

001

son petit théâtre

010

sa place qui descend sur un panorama superbe sur la Loire

019

L'école primaire du château, où  Chéri-chéri a usé ses premiers fonds de culottes

006

025

La cathédrale toujours en travaux depuis le bombardement de Nevers en juin 1944

022

le trib unal avec ses superbes grilles

015

016

Vieilles rues et ruelles et vieilles maisons

027

028

034

035

Le quartier dit "des Faïenciers" où s'élevaient toutes les anciennes faienceries de Nevers

032

La dernière et non moins célèbre, la faïencerie Montagnon

031

La porte du Croux, qui abrite un musée

039

La Chapelle Sainte Marie

C'est le Nevers que je regretterai, comme toute ville ligérienne, la vieille ville est belle, chargée d'histoire, malheureusement tout disparait, tout s'effrite et beaucoup de bâtiments ont perdu de leur superbe

5 octobre 2008

AUJOURD HUI

FETE du VIN DOUX

Dans un petit pays surplombant la Loire, et où, il y a longtemps chaque famille ou presque possédait un lopin de vignes. Quelques privilégiés les ont encore, le vin doux n'est plus du pays, mais peu importe, c'est le folklore

Brocante, produits du terroir, dégustation  de vin doux et je suis revenue avec ceci

004

Vin doux bien sur, rouge et blanc, chataignes, miel et une énORRRRRRRRR mmmmme............... rosette

Qu'on ne me parle pas de régime aujourd'hui

13 septembre 2008

EN SUIVANT

Le chat de Philippe Gelluck sur les chemins de Compostelle

chat

Une halte à La Charité sur Loire, où il s'exposait et où, compte tenu de son succès, il a joué les prolongations

la_charit__007

Un bonheur, cette expo, je ne regrette pas d'être sortie pour une fois

la_charit__011

la_charit__013

Le chat, égal à lui même...................., merci Gelluck

la_charit__014

Celle-ci est de circonstance avec ce déménagement

La Charité sur Loire est une des villes nivernaises que je préfère, elle est une des cinq "filles ainées" de Cluny

la_charit__004

Le prieuré, fondé en 1059 par le puissant ordre de Cluny, est le noyau autour duquel la ville va se développer. Etape majeure sur les chemins de Compostelle et point de passage obligé sur la Loire, le monastère s’est enrichi et a très vite joué un rôle essentiel au sein du réseau clunisien.Au XIIè siècle, l’église Notre-Dame est la deuxième plus grande église de la chrétienté après Cluny, plus de 200 moines logent dans les bâtiments, s’étendant sur 3 hectares.

la_charit__005
La Guerre de Cent ans, puis les Guerres de religion vont peu à peu affaiblir la cité, place stratégique sur la Loire entre la Bourgogne et le Berry. En 1559, un gigantesque incendie va précipiter la ruine du monastère, ravageant la totalité de la nef, une grande partie du prieuré et de la ville

la_charit__008.

D’importants chantiers aux XVIIè et XVIIIè siècles contribuent à la renaissance de la ville et du prieuré, la nef est reconstruite sur 4 travées au lieu des 10 d’origine (d’importants vestiges sont visibles sur la façade de l’OT, à l’entrée de l’église).
Après la révolution, le prieuré, vendu comme Bien National est intégré dans le tissu urbain. Certains bâtiments seront occupés par des particuliers et des commerçants.

la_charit__003

L'église NOTRE DAME, patrimoine mondial

Si la nef actuelle date de la fin du XVIIè siècle, le chœur et le transept ont gardé l’élégance architecturale des XIè et XIIè siècles. La renommée de l’église Notre-Dame est principalement due à la richesse de son décor sculpté, notamment de remarquables séries de chapiteaux et de pilastres, sans oublier deux tympans.

la_charit__020
Le premier, le tympan de la vierge est toujours en place au pied du clocher Sainte-Croix. En 1840, le second, celui de la transfiguration, a été déplacé à l’intérieur de l’église, pour une meilleure conservation. Prosper Mérimée, inspecteur des monuments historiques fera classer l’église Notre-Dame, la sauvant ainsi de la destruction puisque le tracé initial de la route royale de Paris à Nevers traversait la nef.
Depuis 1998, elle est classée par l’UNESCO « patrimoine mondial de l’humanité au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France » sur la voie de Vézelay.

Depuis 2000, La Charité sur Loire est devenue ville du Livre, de nombreuses librairies se sont installées, plusieurs manifestations ont lieu chaque année

la_charit__024

J'ai un faible pour celle-ci, et en plus elle est d'actualité !!!

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 > >>
BECASSINE TRICOTE
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 106 513
Publicité