A une encablure de chez moi, existe un joli petit village portant le nom de DAUMERAY

Ce village a une figure locale :

ROUGET le BRACONNIER

La presse locale le met à l'honneur aujourd'hui à l'occasion de la sortie, vingt deux ans après le film, d'un DVD relatant ses aventures

A SAVOIR :

De son vrai nom Louis Rouget, Rouget le braconnier a vécu au début du XIXème siècle. Il est une figure de l'Anjou qui, sous Napoléon III, devint malgré lui le symbole d'une révolte grandissante du petit peuple. Surpris par deux gendarmes alors qu'il braconnait, il tira sur eux (les deux hommes blessés s'en sortiront) et partit alors pour trois ans de cavale où il vécut, protégé et caché par la population. Finalement trahi, il mourut au bagne de Cayenne, en Guyane.

Le mythe né autour de ce personnage est reconstitué tous les ans depuis plus de trente-cinq ans, en janvier et février, par une troupe de théatre amateur de Daumeray. Parallèllement vient donc d'être lancé le DVD du film agrémenté d'un bonus de 80 minutes de dialogues autour du film

Renseignements sur www.rougetle-braco.blogspot.com

Source : Le courrier de l'Ouest Nord Anjou du 21 MARS 2010

La BAI JIA BEI avance, presque toute assemblée

il ne reste plus qu'à la doubler

Aujourd'hui, pas de couture

c'est cuisine et fabrication de tripes à la provençale et à la mode Caen (10 kgs)

en prévision de mon manque de courage certains matins en me levant, il ne restera plus qu'à décongeler,  Filliot apprécie lorsqu'il est tout seul, parce que c'est clair les chers bambins n'aiment pas ça

Mais en fait qu'aiment ils ?

En ANJOU

Mon olivier,

offert par mes enfants et qui supportait mal le voisinage nivernais et les poubelles qui arrivaient sur mon balcon

A mon égal, en Anjou, il s'est refait une santé,

IL A DES OLIVES

DES NOIRES

Que je ramasserais bientôt pour faire un petit bocal

(indulgence pour les photos, ya une ombre qui traine, ce doit être la mienne lol)

j'avais envisagé de cotoyer un peu plus la population castelnovienne de ma génération

J'avais décidé de m'inscrire au club du troisième âge, enfin disons le club des aînés............

Après moultes réflexions, je crois que je vais renoncer et rester devant mon écran et bavarder avec vous

Il m'est revenu à l'esprit un voyage en autocar, organisé par un club, les places vacantes avaient été proposées, moyennant le plein tarif, aux personnes intéressées

Et je me souviens non sans sourire, m'être trouvée assise dans le milieu du car

les places à l'avant étant réservées par les

"Tas mal où ?????"

alors que se précipitaient à l'arrière les

"Qui qu'y dit ???????"

Alors, non, décidément non, je ne suis pas encore prête !!!!!!!!!!!!

et le temps des conserves et des confitures

Plus beaucoup de temps pour le tricot , la couture et le blog

Les fruits et les légumes abondent et il faut prévoir l'hiver, haricots verts, tomates, mirabelles et autres bonnes choses s'empilent dans les bocaux, mais que de boulot

Levée de bonne heure, couchée tard, une chance que d'avoir CELESTINE

qui ne me quitte pas d'une semelle,

un vrai pot de colle

qui sort les haricots verts des cagettes et qui me les trainent dans toute la maison

Elle aussi, va finir en bocal dans du formol, lol.....................

Comme le phoenix qui renaît toujours de ses cendres, et bien Bécassine renait en ANJOU

Je revis, je me sens extrêmement bien dans cette région, les angevines ne diront certes pas le contraire, et pour les autres, la douceur angevine est belle et bien réelle

pour la majorité en bordure de rivière, que ce soit la Mayenne, la Sarthe, le Loir et bien entendu la Loire, les villages sont fleuris, vivants et accueillants

Chaque détour de route nous propose une visite, un château .............. l'histoire est là

ANGERS est une superbe ville, en peu difficile en circulation avec la construction du tramway, mais chacun prend son mal en patience

Cette année, ANGERS célèbre le 600ème anniversaire de la naissance du Roi René, amant prolixe, et mécène des arts et des lettres

Il était aussi, à son époque, amateur de dromadaires, mais n'était-il pas roi de Jérusalem, même s'il n'y avait jamais mis les pieds

Son château est par ailleurs une merveille incontournable

Et puis l'Océan n'est pas loin, en une journée, pique-nique les pieds dans l'eau, le bonheur !!

Chaude et ensoleillée, nous avons passé une journée de pique-nique très agréable

Ce pique-nique clôturait la saison sportive du club dont s'occupe, entre autres, Filliot

Les diables rouges de Miré

Je suis revenue avec un joli bouquet, avec mes couleurs préférées, bouquet remis par les dirigeants en remerciement du blog dont je m'occupe

part en campagne, je ne sais jamais ce qu'il me ramènera

Il va chercher du lait à la ferme, et il me ramène

Toutes les occasions lui sont bonnes pour ramener des fleurs, même lorsque nous sommes en balade, il ne résiste pas à une modeste fleur cueillie dans les parterres

Des fleurs séchées..........................j'en ai plein mon sac

BONNE JOURNEE à TOUS et à TOUTES

ma marche quotidienne, et oui, les filles, je ne capitule pas .....................

je suis allée à JUVARDEIL, petit village voisin en bordure de Sarthe, je suis tombée sur cette plaque

curieuse, j'ai voulu savoir pourquoi, et alors, vous rappelez vous pour les plus vieilles d'entre nous

Sylvain et Sylvette

Voici l'histoire

Sylvain et Sylvette est une série de bandes dessinées créée en 1941 par Maurice Cuvillier et reprise, à sa mort, par Claude Dubois pour les dessins et Robert Génin pour le texte.

Jean-Louis Pesch reprendra ensuite le flambeau, à partir de 1956.

Ces récits pour enfants relatent les aventures de Sylvain et Sylvette, deux enfants de dix ans environ, le frère et la soeur, qui vivent dans une forêt en compagnie d'animaux domestiques parlants. Ils mèneraient une vie paisible si ce n'était de la présence des "Compères", une bande d'animaux sauvages composée d'un renard, d'un ours, d'un loup et d'un sanglier qui tentent régulièrement de s'approprier leur chaumière et leurs biens

Jean-Louis Pesch arrive en Anjou à l'âge de neuf jours et va y passer toute sa jeunesse. C'est là, sans doute, qu'il acquiert son amour immodéré pour la nature et les animaux. La passion du dessin et de l'humour font partie de l'existence de J.L. Pesch. Tout jeune, il remplit des cahiers de dessin, avant de rentrer, à l'âge de 13 ans, à l'Ecole des Arts Appliqués où ses dessins humoristiques ne sont pas toujours appréciés de ses professeurs. En 1954, il place ses premières pages dans le journal "Capucine" avec pour héros un garçonnet nommé Nouni et, par la suite, un lapin, "héros de Pinpinville", une histoire inspirée du Roman de Renart.

Il dessine ensuite des histoires animalières pour Fleurus et Del Duca : Yo-Yo, Oscar, Panchito, Couinou dans "Mireille", Mouss'tik dans "l'Intrépide". Pour les Editions Mondiales, il crée un western : Pancho et Filasse. Il travaille aussi pour le "Journal Tintin" avec notamment Les Primeurs (avec Franz). En 1980, il crée "Bec-en-Fer", une série historique (tout s'y passe en 1412) où, de façon humoristique, il s'insurge contre la violence, la méchanceté, la bêtise, le fanatisme.. 6 albums de "Bec-en-Fer" sont parus à ce jour. Le 7ème paraît en septembre 1995 aux Editions du Lombard. A la fin de l'année 1956, à la mort de Maurice Cuvillier, créateur de Sylvain et Sylvette, on lui demande de reprendre les personnages. J.L. Pesch crée alors de nouveaux personnages tels que Cloé, la tortue qui zozote ou encore Hurluberlu, le hibou et Croa, le corbeau. Les premières pages paraissent en mars 1957. La série "Sylvain et Sylvette" compte actuellement 38 titres publiés au Lombard. En 1974, J.L. Pesch a été consacré meilleur dessinateur animalier au Salon de la BD de Toulouse. En 1992, il obtient le prix du Salon de Brignais et le prix jeunesse au festival d'Illzach. Aujourd'hui, J.L. Pesch vit dans l'Aveyron où il travaille d'arrache-pied à ses séries (Sylvain et Sylvette, Bec-en-Fer, Perlin et Pinpin...), mais il réalise aussi divers travaux publicitaires

, Juvardeil est un très joli village, plein de ruelles et de venelles

Mais comme je suis aussi une passionnée de l'histoire vendéenne, les "sans-culottes", j'ai voulu marcher sur les traces de BONCHAMP dont je vous ai déjà parlé

Malgré ce qui était annoncé plus de tombe familiale au cimetière, plus de maison natale, je n'ai trouvé que ceci

le château ayant été détruit