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BECASSINE TRICOTE

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29 mai 2008

RECU AUJOURD'HUI

Ce matin, le jolis swap de Valérie

PICT1218

Une jolie pochette avec................devinez.................. et contenant

PICT1220

une jolie boite à thé, du thé de toute sorte

earl grey, thé noir russian, thé noir de Chine (noix, myrtille et chataigne), thé jasmin et thé Hédiard pour petit déjeuner

PICT1216

des pates de fruits (j'adore), de la crème catalane à confectionner (nous adorons !!!), un joli petit point compté et une carte Bécassine bien sur..........

Merci mille fois pour cet envoi, je suis ravie...........

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29 mai 2008

ANNEE COLETTE

Si je ne fais pas d'erreur, cette année est l'année COLETTE.................

Ce n'est pas un écrivain que j'affectionne particulièrement, je me souviens avoir lu ses premiers livres quand j'avais 16 ans, livres qu'elle avait alors écrit pour son mari Willy (un profiteur lol), toute la série des Claudine......

Mais qui est-elle donc ?......................

200px_SidonieGabrielleColette

Dernière enfant du couple formé par ces parents mythiques que sont devenus Sido (Sidonie Landoy) et le capitaine Colette, celle qui deviendra Colette a vécu une enfance heureuse à Saint-Sauveur-en-Puisaye, petit village de Bourgogne. Adorée par sa mère comme un « joyau tout en or » au sein d'une nature fraternelle, elle rencontre adolescente Henry Gauthier-Villars, surnommé 'Willy', avec qui elle se marie le 15 mai 1893 à Châtillon-Coligny. Willy, auteur de romans populaires, est un viveur parisien qui fait également travailler à son profit une équipe de collaborateurs. Il introduit Colette dans les cercles littéraires et musicaux de la capitale. Vite saisi par les dons d'écriture de sa jeune épouse, Willy l'engage à écrire ses souvenirs d'école, qu'il signe sans vergogne de son seul nom. Ce sera Claudine à l'école, bientôt suivi d'une série de Claudine (La maison de Claudine, Claudine à Paris, Claudine en ménage, etc.), dont les romans seront publiés sous le nom du seul Willy.

Willy fut, entre autres, l'amant de Marie-Louise Servat (dite Germaine), femme d'Émile Courtet, à qui il donna un fils, Jacques Henry Gauthier-Villars. Jalouse, consternée de devoir être enfermée dans un rôle d'épouse bafouée, Colette se libère de plus en plus de cette tutelle, et, encouragée par Georges Wague, commence une carrière dans le music-hall (1906-1912), où elle présente des pantomimes orientales dans des tenues suggestives, puis au théâtre Marigny, au Moulin-Rouge et à Bataclan. Ce sont des années de scandale et de libération morale: elle divorce d'avec Willy en 1906 et connaît plusieurs aventures féminines, notamment avec Mathilde de Morny (Missy), fille du duc de Morny et sa partenaire sur scène. Mais, durant toute cette période, Colette chemine aussi dans sa vocation d'écrivain. Elle publie des ouvrages évoquant ces années: La vagabonde, L'envers du music-hall, En tournée, etc. Une attention de plus en plus précise à la justesse des mots, notamment lorsqu'ils sont chargés d'exprimer l'effusion dans la nature, une sensualité librement épanouie pour revendiquer les droits de la chair sur l'esprit et ceux de la femme sur l'homme, voilà quelles sont les lignes de force de cette écriture qui reste encore à saluer, tant, ici encore, la critique littéraire a manifesté son machisme.

Colette en 1896, par Jacques Humbert

Colette en 1896, par Jacques Humbert

Après son divorce, Colette a une brève liaison avec Auguste-Olympe Hériot, rencontré à la fin de 1909. Elle rencontre ensuite Henry de Jouvenel, politicien et journaliste, qu'elle épouse en 1912 et qui l'engage à donner quelques billets et reportages au journal Le Matin, dont il est le rédacteur en chef. De lui, elle aura sa seule enfant, Colette Renée de Jouvenel, dite «Bel-Gazou» ["beau gazouillis" en provençal]. À quarante ans, elle joue aussi un rôle d'initiatrice auprès du fils d'Henry, Bertrand de Jouvenel, dix-sept ans, expérience qui nourrira les thèmes et les situations dans Le Blé en herbe. En ce qui concerne Chéri, il s'agit d'un fantasme qui est devenu réalité, puisque le livre est publié en 1920 mais sa conception remonte à 1912, soit quelques années avant sa liaison avec Bertrand de Jouvenel. Le divorce d'avec Henry de Jouvenel sera prononcé en 1923. Comme elle le fera pour Willy dans Mes apprentissages, Colette se vengera de son ex-mari dans Julie de Carneilhan.

Mélomane avertie, Colette collabore avec Maurice Ravel entre 1919 et 1925 pour la fantaisie lyrique L'Enfant et les sortilèges. Elle a été l'amie de la reine Elisabeth de Belgique, Marguerite Moreno et Natalie Barney et a eu quelques brouilles avec la célèbre demi-mondaine de la Belle Époque, Liane de Pougy.

Pendant l'occupation, Colette séjourna en Corrèze dans le village de Curemonte.

En 1945, Colette est élue à l'unanimité à l'Académie Goncourt, dont elle devient présidente en 1949. En 1953, elle est promue officier de la Légion d'honneur. L'écrivain est au faîte de sa gloire et de son talent quand elle s'installe dans son appartement du Palais-Royal pour ne plus le quitter. Elle compte Jean Cocteau parmi ses voisins. Sur ses vieux jours, Maurice Goudeket, son dernier mari, l'aidera à supporter son arthrose. Elle meurt le 3 août 1954. Malgré sa réputation sulfureuse et le refus, par l'Église catholique, des obsèques religieuses, Colette est la seule femme à avoir eu droit à des funérailles nationales. Elle est enterrée au cimetière du Père-Lachaise à Paris[. Sa fille repose à ses côtés

Wikipédia

28 mai 2008

NOUVEAU TRICOT

En coton blanc cassé, en principe, il est pour moi, mais au final ????

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J'ai souvent envie de vêtements mais je ne sors plus, je n'ai pas des masses envie de m'habiller, de mettre des bijoux, de me maquiller................Je saute vite fait dans les vêtements qui sont sous ma main alors que placards et tiroirs sont pleins ras bords...Je n'arrive pas à reprendre le dessus et c'est catastrophique.................

.

27 mai 2008

TERMINES

Prêts à livrer

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gilet pour petite louloute de bientôt deux ans, un peu grand pour l'instant

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et autre gilet pour sa petite cousine, à naître en juillet

26 mai 2008

IL PLEUT, IL MOUILLE

C'est la fête à la grenouille, mais c'est aussi la saison des escargots..............

Une recette, en passant...........

LES PATES AUX ESCARGOTS

  • 4 douzaines d'escargots passés au court bouillon

  • 200 gr de tagliatelles

  • 4 tomates

  • 2 échalotes, 1 gousse d'ail et 1 petit oignon

  • 20 gr de beurre

  • 12 olives noires

  • 1 branche de thym sec, 1 morceau de fenouil, 1 branche de basilic

Egouttez les escargots, et faire cuire les tagliatelles "al dente"

Ebouillanter les tomates pour les peler, leur enlever les pépins et les couper en petits dés

Dans une poêle, avec le beurre, faire revenir l'échalote, l'ail et l'oignon hachés, puis ajouter les tomates et laisser mijoter quelques minutes avant d'ajouter le thym et le morceau de fenouil haché.

Couper les olives en petits morceaux et les ajouter ainsi que les escargots, laisser chauffer quelques minutes.

Egoutter les pâtes, les mettre très chaude dans un plat de service un peu creux, les napper de la préparation aux escargots, et parsemer de basilic

Pour 4 personnes

Recette tirée du livre de cuisine : Les recettes bourguignonnes de Tante Margot

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25 mai 2008

A TOUTES LES MAMANS

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BONNE FETE

Mais pourquoi ?............................

L'origine de la Fête des Mères à travers le temps et l'espace

Dans la Grèce antique, au printemps les anciens Grecs fêtaient Rhéa, la mère de tous les dieux

A Rome, au Vème siècle avant Jésus-Christ, on célébrait au mois de juin les "Matralia", la fête des femmes et des mères. La religion fit peu à peu disparaître ces coutumes païennes

En Angleterre, entre le XVème et le XVIIème siècle, au début du carême, on commenca à célébrer une fête appelée "Mothering Sunday". La date fut ensuite fixée au quatrième dimanche du printemps. C'était l'occasion pour toutes les mères qui travaillaient comme domestiques dans les familles fortunées de retourner passer la journée à la maison avec leur famille, puisque qu'elles avaient congé à cette occasion.

Aux États-Unis, c'est en 1872 que Julia Ward Howe lança l'idée de la fête des mères. A cette occasion, elle organisait une célébration spéciale à Boston à tous les ans.
L'idée fut reprise en 1907 par une autre américaine de Philadelphie, Ana Jarvis. La première célébration eut lieu le deuxième dimanche de mai, à Grafton, Virginie de l'Ouest. Cette date était l'anniversaire du décès de la mère d'Ana.
L'année suivante, la fête fut aussi célébrée à Philadelphie. Ana Jarvis entreprit une importante campagne pour instituer la Fête des Mères sur le plan national et en 1911, cette fête était célébrée dans à peu près tous les états américains.
En 1914, le président Woodrow Wilson fit de la Fête des Mères une fête officielle devant se tenir le 2ème dimanche de mai.

En Belgique, la Fête des Mères se tient généralement le second dimanche du mois de mai. Elle a été instaurée à la suite des Etats-Unis et s'est calquée sur cette coutume américaine comme d'autres pays : notamment le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Turquie, l'Australie.
Mais la date de la fête des mères n'est pas toujours la même selon les régions de la Belgique. Par exemple, en région Anversoise, la fête des mères est célébrée le 15 août, jour de Marie.

En France, en 1806, Napoléon aurait évoqué la création d'une fête des mères officielle au printemps.
En 1897, l'Alliance Nationale contre la dépopulation lance l'idée d'une fête des enfants.
En juin 1906, dans l'Isère, se déroule la première célébration des mères, sur l'initiative de l'Union Fraternelle des Pères de Famille
Le 31 décembre 1917, à Paris, on organise une fête des familles nombreuses.
Le 16 juin 1918, à Lyon, est célébrée la première "Journée des mères". À la suite de cet événement, l'idée d'une Journée des Mères de Famille est lancée. Selon certains, les français se seraient inspirés des Américains qui, pendant la première guerre mondiale, envoyaient massivement du courrier à l'occasion de la fête des mères (qui était déjà établie aux Etats-Unis). À ce moment là la date envisagée pour cette fête est le 15 août.
Le 9 mai 1920, le ministre de l'Intérieur proclame la première Journée Nationale des Mères de familles nombreuses. L'apothéose de la fête se déroule à Paris le 19 décembre, bien loin du 15 août initialement prévu!
Le Gouvernement prend alors la décision de célébrer chaque année la "Journée des mères". La première cérémonie eut lieu le 20 avril 1926.
Aujourd'hui, la fête des mères se célèbre le dernier dimanche du mois de mai, sauf lorsque celui-ci est aussi le jour de la Pentecôte. La fête des mères est alors reportée au premier dimanche de juin. C'est une fête officielle.

Au Viet-Nâm, comme les européens, les viêtnamiens ont aussi la fête des Mères. C'est la fête du Vu Lan au 15è jour du 7ème mois lunaire

documentation de mômes .net

24 mai 2008

PIVOINES......PIVOINES

Ce soir, les deux p'tits bouts dont je vous parle souvent comme étant mes deux petits enfants de coeur..............m'ont offert pour la fête des mères ce superbe bouquet de pivoinesPICT1206

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les deux précédents bouquets étant déjà bien avancés, celui-ci tombe à point.........

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24 mai 2008

VIDE GRENIER MATINAL

Petit vide grenier organisé par une association, ma B.A. du jour...........

J'ai trouvé deux, trois bricoles...............

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plateau en verrerie rose

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petite carafe hélas sans bouchon

et le classeur complet Plaisir du Crochet édité par ATLAS, le total pour la modique somme de 6 euros

23 mai 2008

FAIENCE DE NEVERS

La faïence de Nevers est l'une des plus anciennes de France.

C'est une faïence par le procédé du "grand feu" qui exclut les retouches.

Les couleurs sont spécifiques : pas de rouge ni de noir, remplacés par l'orange ( jaune obscur) et par le brun.

L'émail a un éclat bleuté au XVIIe et blanc pur au XVIIIe.

Centre de commerce grâce à sa position sur la Loire, Nevers produit des céramiques depuis longtemps lorsque, vers la fin du XVIe siècle, le duc Louis IV Gonzague de NeverS, originaire de Mantoue en Italie, fait venir d'Italie les frères Conrade, qui introduisent l'art de la faïence à Nevers. La matière première (argile et marnes) se trouve sur place. Le bois du Morvan permet de chauffer les fours. La Loire et le canal de Briare acheminent la production.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la faïence de Nevers jouit d'une grande réputation.

  • Les faïenciers travaillent d'abord dans un style italien polychrome, puis ajoutent à leur production des camaïeux bleus.
  • Créé en 1630 le décor persan se décline en trois types : le fond bleu à dessin blanc, le fond jaune ocre et le décor vert sur fond blanc. Ces pièces sont surtout destinées à l'aristocratie.
  • le décor Nivernais apparait en 1650, fait de divers dessins en bleu sur fond blanc.
  • le décor chinois , essentiellement en bleu sur fond blanc est produit de 1660 à 1760. Au XVIIIe siècle, la faïence prend un ton plus populaire avec une abondante production de pièces patronymiques.
  • Sous la Révolution, Nevers réalise de nombreuses faïences patriotiques caractéristiques.

Plusieurs dynasties ont marqué Nevers :

  • les Conrade (Conrado) venus de la Province de Gênes. Augustin fut le premier et seul faïencier puis perdit le monopole et le conseil de la ville avait fixé le nombre des faïenceries à onze. Antoine Conrade étant considéré comme le plus talentueux, la confrérie avait sa fête pour la saint Antoine.
  • les Bourcier sur quatre générations, venus de la Charité sur Loire, dont Barthélémy Bourcier(+ en 1676) qui fut émailleur de la Reine Marie de Médicis de 1626 à 1631 et dont le fils Jean fut peintre. Barthélémy Bourcier fut un grand artiste en contact avec Abaquesne, le grand Maître rouennais, ainsi que de disciples directs de Bernard Palissy, objet peut-être d'une cabale et de l'inimitié de Richelieu, il est chassé de la Cour en 1632 et revient alors en Nivernais
  • les Seguin, parents des Bourcier, du XVII au XVIIIes siècles, donnèrent plusieurs Maîtres faïenciers dont Jean (+ en 1680)et Guillaume (+ en 1714)
  • les Custode, dont Pierre, d'origine italienne. Pierre Custode crée en 1630 la fabrique de "l'Autruche", rue Saint Genest, il s'associe avec Esme Godin et la maison Custode durera jusqu'en 1795 environ. Ce sont les Custode qui ont illustré le mieux probablement les décors persans à dessins blancs sur fond bleu intense que certains ont appelé le "Bleu Custode".

Le XVIIIe siècle connaît un déclin de la faïence au profit de la porcelaine. La fabrication continue cependant et plusieurs faïenciers sont toujours en activité à Nevers où la faïence retrouve ses lettres de noblesse avec le renouveau de l'intérêt du public et surtout des collectionneurs

En ce qui me concerne, elle est une de mes faïences préférées, bien que j'avoue avoir quelques difficultés à faire des préférences. J'adore la faïence, Digoin, Rouen, Moulins, Sarreguemines, une faïence devenue rare maintenant la faïence de Montereau, j'ai quelque mal à aimer le Moustiers trop galvaudé à mon goût.

Quelques pièces de NEVERS que je suis contente de posséder

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Faiencerie MONTAGNON

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Faiencerie BERNARD

22 mai 2008

PRACHNIKLECHS

ou SABLES au PAVOT NOIR

250 GR de farine

100 gr de sucre

125 gr de beurre ramolli

1 oeuf

50 gr de pavot noir

sel

  • Dans une terrine, versez la farine en fontaine, mettez au centre le beurre en morceaux, une pincée de sel et l'oeuf
  • Pétrissez en incorporant les grains de pavot
  • Laissez reposer 30 minutes. Etalez la pâte sur 1 cm d'épaisseur
  • Découpez les sablés avec un emporte pièces rond et posez les sur la plaque du four graissée
  • Faites cuire à four moyen (200°) pendant 15 minutes, conservez dans une boite en fer

Recette économique et simple trouvée dans le livre

La cuisine de nos grands-mères juives polonaises de Laurence Kersz

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