UN NOUVEAU BLOG
dont je suis fière........
Allez lui rendre visite, déposez des commentaires, encouragez là......................
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sinon LIRE et DORMIR ......... Il y a plus terrible .......
La deuxième semaine à COGNACQ JAY vient de commencer, bons résultats pour la première semaine moins 30 % du volume du lymphoedeme, c'est énorme ............. Troisième semaine acceptée.....
Donc je LIS....... et je DORS ........
En établissant sa famille dans la petite ville de Stockton,Salomon Kugel pensait avoir laissé derrière lui le bruit et la fureur de la Grosse Pomme. A peine installé, la vie à la campagne ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices.
J'avais beaucoup aimé et ri avec LA MALEDICTION DU PREPUCE de ce même auteur, celui-ci est tout simplement HILARANT
Pendant l'été 1916, Vincent, très beau jeune homme de bonne famille entame deux relations avec deux hommes que tout oppose. La première, platonique mais ambigue avec le romancier Marcel Proust, la seconde, plus charnelle, avec un soldat en permission, qui lui apprend le vrai sens de l'amour.
J'ai eu l'occasion de rencontrer Philippe BESSON lors d'u ne séance de dédicace chez RICHER à ANGERS, l'auteur est passionnant, une heure trente d'échanges qui donne envie de se lancer dans la lecture de tous ses livres. C'est un recueil chargé d'émotions
Lors d'un voyage scolaire en Allemagne, un jeune professeur découvre au camp de concentration de Buchenwald la photographie d'un détenu dont la ressemblance avec son propre père le stupéfie et ne cesse de l'obséder. Ce prisonnier, David Wagner, est en fait son véritable grand-père. Peu à peu se met en place l'autre famille, la branche cachée, celle dont personne chez les Fabre n'évoque l'existence... Au cours de sa quête, le jeune homme comprend qu'en remontant à l'origine de la violence, c'est sa propre violence qu'on finit par rencontrer...
Excellente lecture
De la couleur dans les jardins et tout de suite on se sent mieux
Jacinthes....................
Crocus ..........
Timides primevères sauvages
Altières jonquilles .......
Quelques cinq cents bulbes différents dans ce minuscule coin de jardin qui attendent sagement leur tour pour fleurir et colorer ........
Merci au Grand Barbu qui ne se lasse pas de planter pour le plaisir des yeux
Finis pour le dernier des p'tits loups ....... Le bras va se reposer, départ COGNACQ JAY dimanche matin pour une durée prévue de deux semaines, on verra là-bas ............
Deux modèles sortis du PITCHOUN PHILDAR Automne/Hiver 2013/2014
J'ai vu grand pour l'automne prochain lol !!!!
Laines de ma fidèle amie MYRTILLE à ANGERS ......
Janvier étant le mois anniversaire de ma fille bordelaise,
Philippe BESSON étant un de ses auteurs favoris,
j'ai voulu pour l'occasion lui faire dédicacer des livres lors d'une rencontre à la fabuleuse librairie angevine qu'est la librairie RICHER.
Un moment de plaisir pendant une heure d'écouter cet auteur nous parler de ses livres et de son parcours d'écrivain.
Je n'ai jamais encore lu ses livres bien que certains soient en attente sur l'étagère dite de transit !
Magnifique rencontre, personnage intéressant qui donne l'envie de le découvrir un peu plus après cette rencontre......
Mes deux achats du jour avec dédicace:
le dernier paru
LA MAISON ATLANTIQUE
Et un de ses premiers
SON FRERE
Ils sont deux frères, jeunes encore, réunis une dernière fois face à la mer, face à la mort. Thomas est malade. Lucas l'accompagne pour une ultime escapade dans l’île de Ré, sur les terres de leur enfance. Un banc au soleil. Entre retrouvailles et chant du départ, chaque minute, désormais, mérite d’être vécue jusqu'au bout
On m'avait prévenue mais je ne recule devant aucun sacrifice, j'ai essayé mais vraiment je n'ai pas pu
NAISSANCE
Yann MOIX
La naissance ne saurait être biologique : on choisit toujours ses parents. Naître, c'est semer ses géniteurs. Non pas tuer le père, mais tuer en nous le fils. Laisser son sang derrière, s'affranchir de ses gènes. Chercher, trouver d'autres parents : spirituels. Ce qui compte, ce n'est pas la mise au monde, mais la mise en monde. Naître biologiquement, c'est à la portée du premier chiot venu, des grenouilles, des mulots, des huîtres. Naître spirituellement, naître à soi-même, se déspermatozoïder, c'est à la portée de ceux-là seuls qui préfèrent les orphelins aux fils de famille, les adoptés aux programmés, les fugueurs aux successeurs, les déviances aux descendances. Toute naissance est devant soi. C'est la mort qui est derrière. Les parents nous ont donné la vie ? A nous de la leur reprendre. Le plus tôt possible
Comment un tel ramassis d'insanités a pu percevoir un prix un RENAUDOT de surcroit......... Je n'ai pas été plus loin que la cinquantième page, je pense que l'auteur aurait gagné du temps à se faire psychanaliser !
J'ai adoré le suivant
LES PERROQUETS DE LA PLACE D'AREZZO
Eric-Emmanuel SCHMITT
Ce mot simplement pour te signaler que je t'aime. Signé : tu sais qui.»
Cette lettre anonyme trouble l'existence des riverains de la place d'Arezzo. Dans ce quartier élégant de Bruxelles, quel original, quel pervers, quel corbeau déguisé en colombe s'acharne à violer leur intimité ? Le message entraîne autant de promesses et d'attentes que de déceptions et de catastrophes, chacun l'interprétant à sa façon. Menée par Eric-Emmanuel Schmitt, cette ronde effrénée devient l'encyclopédie des désirs, des sentiments et des plaisirs, le roman des comportements amoureux de notre temps.
Le mot de l'éditeur :
Autour de la place d'Arezzo, où les grands platanes ont été envahis par les perruches et les perroquets, vit une des populations les plus huppées de Bruxelles. S'y croisent, dans un voisinage élégant et contrasté, le fonctionnaire et l'étudiant, le bourgeois et l'artiste, la poule de luxe et la veuve résignée, mais aussi la fleuriste et l'irrésistible jardinier municipal. Des couples, des solitaires, humbles ou orgueilleux, conquérants ou vaincus, comme partout dans le monde. Tous gouvernés par leurs passions, leurs désirs, leurs fantasmes amoureux et sexuels. Jusqu'au jour où leur parvient une lettre, anonyme, identique, mystérieuse, qu'une colombe, et non point un corbeau, leur aurait adressée. Comme une bombe à retardement. "Ce mot simplement pour te signaler que je t'aime. Signé: tu sais qui." Et chacun de s'enflammer, de rêver, d'y voir une promesse, un bonheur attendu, une blague, une menace. On peut imaginer, pour le meilleur et pour le pire, le fatal enchaînement d'espoirs, de déceptions, d'embrouilles et de drames qui s’annoncent… Dramaturge, romancier, nouvelliste, essayiste, cinéaste, traduit en 40 langues et joué dans autant de pays, Eric-Emmanuel Schmitt est un des auteurs les plus lus et les plus représentés dans le monde. Son dernier recueil de nouvelles, Les deux messieurs de Bruxelles, a poursuivi le succès ininterrompu d’un œuvre déjà riche de plus de 30 titres.
Le mien tout simple : J'AI POSITIVEMENT ADORE
de faire une photo correcte assise à mon bureau, à travers la vitre...............
Multitude d'oiseaux ....... un ballet ininterrompu sur les arbustes de mon jardin, le Barbu a installé un self-service, mais ces maudits piafs ont une vitesse de mouvements supérieure à ma vitesse de réaction .......
Et pendant ce temps ....... derrière la vitre .............. le chat dort !!!!!
Kay Scarpetta, bien déterminée à découvrir les raisons du meurtre de son assistant Jack Fielding, se rend au pénitencier de femmes de Géorgie, où une prisonnière affirme détenir des informations sur ce dernier. Elle évoque aussi d’autres assassinats sans relations apparentes : une famille d’Atlanta décimée des années auparavant et une jeune femme dans le couloir de la mort. Peu après, Jaime Berger, ancienne procureur de New York, convoque Kay Scarpetta à un dîner, mais dans quel but ? Kay comprend que le meurtre de Fielding et celui auquel elle a échappé autrefois constituent le début d’un plan destructeur. Face à un adversaire malade et dangereux, elle traverse enfin le voile rouge qui l’empêchait de comprendre.
Patricia Cornwell toujours et encore, j'aime cet auteur et son personnage Kay Scarpetta, chaque enquête est passionnante et nous engage à ne quitter le livre qu'après l'avoir fini
Dans ce septième volet de la série qui lui est consacrée, Erica est sur tous les fronts. Non contente de s?occuper de ses bébés jumeaux, elle enquête sur l?île de Gräskar dans l?archipel de Fjällbacka, et s?efforce de soutenir sa s?ur Anna, victime, à la fin de La Sirène, d?un terrible accident de voiture aux conséquences dramatiques. Avec Le Gardien du phare, Camilla Läckberg poursuit avec brio la série policière la plus attachante du moment.
Un excellent Lackberg mais ne le sont ils pas tous ?
'Été 1960. Françoise Giroud vient de subir le plus grand échec de son existence : sa mort. De nombreux verrous bloquant la porte de sa chambre, une dose plus que létale de poison avalée, le téléphone débranché, elle avait tout prévu... sauf que deux solides gaillards iraient jusqu'à défoncer une cloison pour l'arracher à un coma déjà profond. Il lui faudra vivre. Plaquée par Jean-Jacques Servan-Schreiber, sa passion, et virée de L'Express, ce journal de combat qu'ils avaient fondé ensemble, en brave petit soldat, elle repart pour la guerre avec la seule arme dont elle dispose : sa machine à écrire.. Après sa tentative de suicide, Françoise Giroud écrivit Histoire d'une femme libre, récit autobiographique, dont Alix de SaintSaint-André a retrouvé le manuscrit qu'on croyait détruit. On y retrouve la voix d'une femme d'exception, complexe, lucide, et formidablement courageuse. Au milieu d'une vie tourmentée, elle dresse à la point sèche le portrait des mondes et des hommes qu'elle a croisés
Récit d'une femme volontaire et courageuse ............... excellent
On se souvient de Bernie Gunther, l’ex-commissaire de police devenu détective privé, qui, à la fin de La Trilogie berlinoise, assistait à la chute du IIIe Reich, conscient de la corruption qui, à Berlin comme à Vienne, minait le régime. 1949. Bernie vit une passe difficile. Sa femme se meurt, et il craint que le matricule SS dont il garde la trace sous le bras ne lui joue de sales tours. Une cliente affriolante lui demande de retrouver la trace de son époux nazi, et le voici embarqué dans une aventure qui le dépasse. Tel Philip Marlowe, son alter ego californien, et en dépit de son cynisme, Gunther est une proie facile pour les femmes fatales… Atmosphère suffocante, manipulations, et toujours l’Histoire qui sous-tend habilement la fiction : du Philip Kerr en très grande forme.
là où l'on rentre dans les arcanes de la fuite des nazis avec l'aide du clergé !!