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BECASSINE TRICOTE
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17 avril 2010

ESCAPADE

dans le pays chouan et sur les bords de Loire

L'occasion de retrouver de vieux amis

les aléas de la vie nous avaient éloigné

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Passage à OUDON, où j'ai laissé un peu de moi il y a 20 ans

Puis, le pays chouan, enfin une toute petite partie avec ,

CHAMPTOCEAUX

La Divatte à droite se jetant dans la Loire à gauche, le village de La Varenne au second plan.

LA VARENNE,

La période révolutionnaire a fortement marqué le Loroux. On connaît la place tenue dans l'épopée vendéenne par les « Gâs du Loroux ». Certains combattirent avec Charrette, d'autres sous Lyrot et Prodhomme, dans l'armée de Bonchamps, puis de Stofflet. Les Républicains se vengèrent en massacrant plusieurs centaines de Lorousains et en incendiant par deux fois la ville, en mars 1794.

LE LOROUX BOTTEREAU

Château de Clermont (Loire-Atlantique)

Les Bords de Loire avec le Château du Cellier

Dans ses grandes lignes, le château est resté intact depuis les années de sa construction, pendant la régence d'Anne d'Autriche et de la minorité de Louis XIV. Sa façade sud, qui domine la Loire et offre une vue panoramique sur le pays des Mauges et le vignoble du Muscadet (pays du Loroux), est toujours telle que la montre une aquarelle d'époque de la Collection Gaignières conservée au Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France. Quant à la façade nord à laquelle mène une avenue ombragée perpendiculaire à la rue de Clermont qui mène au bourg du Cellier distant d'un kilomètre environ, elle est demeurée encadrée dans ses ailes d'origine. Le château comporte près de 366 fenêtres et 20 pièces : il est entouré d'un parc de 3 hectares et de 17 hectares de vignes[3].

La chapelle privée du château date du XVIIe siècle, la grange du XIXe siècle[3].

Louis de Funès et son épouse Jeanne Augustine Barthélemy de Maupassant (petite nièce du célèbre écrivain), se rendaient souvent en vacances au domaine de Clermont, alors propriété de Charles Nau de Maupassant[4], l'époux de Marie Barthélémy qui était la tante de Jeanne de Funès. À la mort de celle-ci en 1963, Jeanne hérite de la moitié du château. Après négociations avec les six autres héritiers, le couple de Funès fait l'acquisition de l'intégralité du château en 1967, alors inhabité depuis 6 ans[5].

Le domaine comporte 30 pièces, 365 fenêtres, d'importantes dépendances, un parc de 30 hectares. Passionné de botanique, l'acteur y cultive une roseraie. Il réside en ces lieux jusqu'à son décès survenu en 1983. Sa famille ne pouvant entretenir un tel bâtiment, elle le vend en 1986, trois ans seulement après la mort de l'acteur, à une association pour le développement des alternatives à l'hospitalisation (l'ADAH).

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les Folies Siffait

Deux hommes ont beaucoup compté dans l’histoire du jardin : Maximilien Siffait l’auteur supposé et son fils Oswald. Que penseriez-vous d’un receveur des douanes qui au départ, bâtirait des murs de forteresse pour ne rien défendre, mais qui ornerait ces mêmes murs de fausses fenêtres et qui aménagerait des terrasses de couleurs différentes. Vous penseriez sans aucun doute qu’il est fou. Rassurez vous, d’autres l’ont fait avant vous, d’où le nom de ce lieu.

Maximilien naît à Albertville en Savoie, il achète le château de la Gérardière en 1816. Rien ne le prédispose à créer un magnifique jardin. On imagine aujourd’hui qu’il s’agit d’un acte d’amour, d’abord envers sa femme ensuite envers sa fille qui hélas, l’une et l’autre vont mourir avant l’inauguration de cette folie prévue pour les 18 ans de Jeanne-Louise. 

Son fils Oswald, est né en 1813 héritier de la Gérardière et du jardin situé à 500 mètres du château, lui est un passionné d’horticulture.

                     

En 1845, la construction de la ligne de chemin de fer Paris Nantes, bouscule le jardin, il est amputé d’au moins deux terrasses dans le bas. Le T.G.V. Atlantique (couleur gris bleu), circule sous les folies Siffait dans un tunnel creusé dans la colline. En 1984, est née l’idée de sauver le jardin laissé à l’abandon, mais qui, depuis 1942 faisait l’objet d’un arrêté le classant « site protégé ». 

Avec la mairie du Cellier, et le concours de différents Organismes, un projet de réhabilitation est engagé. La restauration privilégie le caractère mythique, onirique et magique des lieux.

Le jardin suspendu est composé de vingt-trois terrasses, elles sont soutenues par des murs en pierres sèches qui peuvent atteindre douze mètres de haut, le tout relié par des escaliers qui descendent vers la Loire. Longtemps laissé à l’abandon, les travaux de rénovation sont importants une première tranche à été menée à bien. Une seconde va débuter et se poursuivre jusqu’en 2003.

La végétation y est abondante : chênes, robiniers, érables, frênes, ormes, charmes, sans oublier les châtaigniers et les tilleuls. Les conifères de jardin y sont très bien représentés, s’intégrant parfaitement au paysage constitué de niches, de fausses portes et fenêtres peintes en trompe l’œil sur les murs de soutènement. Suivant la saison, de très beaux massifs de fleurs, le tout sous une voûte végétale ajourée ça et là que constituent les grandes branches de marronniers ou des cyprès du Colorado. Ici on vient d’abord pour le calme et le repos, mais en laissant libre cours à son imagination. 

Enfin, une excellente journée, soleil, balade, amitié, crustacés et beurre blanc

Un joyeux mélange en quelque sorte !!!!

Sources : wikipédia

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Commentaires
C
jolie balade en effet ! je vais de e pas regarder ma carte !
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8
très belle balade çà donne envie d'y faire un tour bisous florence
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R
oooh toute une balade...excellente...et de bien bon souvenirs!
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BECASSINE TRICOTE
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